Le taux d’incidence est proportionnel au nombre de tests effectués (il était infime en mars/avril 2020 car on dépistait très peu), donc guère significatif, sauf en terme d’évolution.
Le taux de positivité est plus représentatif, quoique la proportion de personnes qui se testent parce qu’ils ont des symptômes augmente le taux mesuré.
Le plus significatif serait de tester chaque semaine un échantillon représentatif de 2000 personnes. En dessous de 0,05% (50/100 000), ça resterait à 0 ou 1 sur 2000 personnes, mais la vraie alerte est plutôt au dessus de 0,2% (200/100 000), et là ça se voit sur 2000 personnes. Dès lors que la « dangerosité » en cas graves et décès est désormais bien plus faible que l’an dernier et au tout début de l’année (que ce soit du fait du vaccin ou de la divine providence), il faut repositionner les indicateurs d’alerte et de suivi.
Confiner qui que ce soit est désormais indéfendable, quant à une « obligation » pour moins de 10% des catégories à risque non vaccinées ce serait de l’autoritarisme disproportionné (le Portugal est arrivé à 98% de vaccinés, sans obligation). Il y a l’information personnelle (les médecins traitants devraient s’impliquer pour relancer leurs patients en surpoids ou diabétiques...), ou encore l’accès à des vaccins « classiques » en alternative pour les opposants aux « nouveaux vaccins ».
Et concernant les capacités hospitalières, l’utilisation des 90 milliards annuels pour l’hôpital public est à optimiser.
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