« Cela me met en colère contre ces vaccinés qui ont accepté tous les mensonges sans aucune résistance. »

Je ne pense pas qu’il le faille, même si certes l’attitude de certains est outrancière, mais révélatrice de la peur. Cette peur de perdre la vie.

J’étais il y a quelques jours dans mon cabinet médical, pour mon rendez-vous traditionnel, et il y avait foule, enfin 6 hommes un peu plus que septuagénaire discutant du Covid en attendant de recevoir leur rappel ou dose..

Bref, la peur de se faire contaminer par les « D’jeuns » étaient bien présente, pour finir par les accuser de tous les maux (relayant les messages médiatiques). Comportement totalement irrationnel, mais parfaitement représentatif des conséquences insoupçonnées des actions politiquos-médiatiques depuis deux ans.

Si cela continu, cela pourrait devenir brutal et se retourner contre les instigateurs. Par contre seront en mesure de ce souvenir des coupables à savoir le Gouvernement en place et les médias (L’asservissement de la quasi totalité au gouvernement de ces organes est très dangereux, discuter de la liberté de la presse est devenue une utopie, du fait même de leur appartenance) ?

Une partie assez âgée de la population n’est plus en mesure de prendre conscience de ce qui se passe, « Ils » ont confiance dans le Gouvernement, ce n’est pas dans leur « gène » de mettre en doute cette parole, heureusement il restent des vindicatifs, mais ils sont fort peu nombreux.

Reste aussi l’autre partie, et celle là non négligeable, de générations serviles, acceptant tout pour continuer dans leur « petit confort de vie ». Celle là est la plus dangereuse selon moi. Ils refusent de savoir, mais se soumettent. allant même à accepter de faire vacciner leurs enfants pour les mêmes motifs.

Jamais je n’ai vu une telle partie de la population, pourtant prompte à descendre dans la rue, ne pas chercher à savoir.

Autre phénomène notable aussi, le silence complet des syndicats devant les mises à pied de fonctionnaires refusant de se soumettre. Pourtant ces derniers descendent immédiatement vociférer dans la rue dès que l’on touche à l’un des leurs. Là RIEN.