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jjwaDal jjwaDal 15 décembre 2021 18:29

On a administré aux personnels de santé un produit expérimental censé empêcher la diffusion du virus, pour soi-disant les protéger et protéger les malades. Pour cela on s’est torché avec le « Protocole de Nuremberg » , vu que le consentement était sous la menace et en l’absence de tout consentement éclairé (Par qui ou quoi , puisqu’on ignorait que ces produits ne protégeraient que partiellement et pour une durée limitée, permettant au virus de circuler à peine ralentis ?...). Obliger des gens à se vacciner contre les variants de fin 2021 avec le vaccin de la saison 2019 quand plusieurs variants se sont succédés à rythme rapide en quelques mois et qu’il semble endémique plus que saisonnier ?
On serait face à un taux de létalité de 50% (Ebola, disons) et un virus menaçant la population des pays (tuant des jeunes qui n’auront pas d’enfants qui eux-mêmes...) on pourrait comprendre. On est aux antipodes de ça. On parle d’un virus qui la première année a tué à peu près autant que le tabac en France, une performance qu’il aura du mal à égaler avec une population beaucoup moins naïve (98% des anglais ayant des anticorps contre ce virus).
Le fait même qu’on vaccine des jeunes qui ont objectivement plus à craindre de ces produits que du virus alors même que le produit n’empêche pas la circulation du virus indique clairement que les objectifs ne sont pas de santé publique. On veut que les conditions de possibilité d’une telle épidémie perdurent en l’état, intacts pour la prochaine, pendant qu’on continue un peu partout le dépeçage du système public de santé. Cela ne peut servir que ces deux objectifs, même si ce n’est qu’un effet collatéral pour le premier.


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