cher auteur, comme d’autres l’ont dit avant moi, la pire des mesures coercitives est l’obligation vaxxinale où toutes les mesures vexatoires prises avant n’avaient pour seul but que d’éviter d’en arriver là.

Prenons l’exemple d’un violeur qui attrape sa proie et lui laisse 2 choix possibles. Le premier est de considérer le viol comme une relation sexuelle consentie, de telle sorte qu’il n’y a pas viol. Le second choix étant de refuser la relation sexuelle et donc de subir le viol avec comme conséquence aggravante le risque de mise à mort pour ne pas être reconnue par la victime. Eh bien, la politique du gouvernement est fondamentalement la même, il commence à vous laisser le choix d’être d’accord, mais si vous refusez, alors, il vous imposera quand même la vaxxination et c’est évidemment aussi emmerdant que pour le violeur. Bon, il y a des violeurs dont le plaisir réside plus dans la contrainte que dans l’acceptation, mais c’est un autre débat.

Vous citez Machiavel écrivant "Vous devez donc savoir qu’il y a deux manières de combattre, l’une avec les lois, l’autre avec la force. »

Sauf qu’il avait tout faux, en effet, il n’y a de loi que celle de celui disposant de la force, sans cela, il n’y a pas de loi qui tienne. Décréter une loi sans disposer de la force pour la faire applique est un voeu pieux, une coquille vide. Autrement dit, la loi et la force sont une seule et même manière d’imposer sa volonté. En réalité, l’autre manière en dehors de la force, c’est la ruse ou manipulation des cogito.

Machiavel confond donc la loi avec la ruse, mais seule la ruse ne repose pas sur l’usage de la force physique, au contraire de la loi qui nécessite la détention de la force.

Macron a donc commencé à utiliser la ruse, la manipulation des cogito, qui fonctionne très bien avec les faibles d’esprits ou les médiocres comme nono ou pernile, pour ensuite passer à la loi, donc, l’usage de la force.