@ l’auteur
Nous sommes en effet sommés de choisir de soutenir indéfectiblement l’un ou l’autre camp. Or on est dans le cadre d’une situation complexe, où se heurtent un impérialisme de suprématie atlantiste et un impérialisme de suzeraineté régionale russe. Les responsabilités dans les causes du conflit sont partagées -mais le grignotage atlantiste vers l’Est est la cause première-, la responsabilité de l’attaque militaire est russe.
Sur le fond, je suis d’accord avec l’auteur qu’une solution de ’’partition’’ entre l’Ukraine nationale (pro occidentale) et les régions pro-russes parait la plus adéquate (malheureusement ce n’est pas ’’à l’amiable’’ comme la Tchécoslovaquie).
La position de la France devrait être le refus des blocs et la promotion d’une solution diplomatique. Macron fait l’équilibriste entre le suivisme du bloc occidental, et l’appel au dialogue mais sans crédibilité de médiation.
PS : à propos de l’évocation de ’’la candidature collective du mouvement des Décroissants aux élections européennes...’’, vous devez être satisfait, la décroissance est en chemin, d’abord celle des énergies, puis celle générale puisque les revenus décrochent de l’inflation. La guerre d’Ukraine est une ’’opportunité’’ (comme ils disent) de transition énergétique, écologique, économique, et tutti quanti
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