De Myriam à Marie, en passant par Maria.
Ce sont les Phéniciens qui auraient apportés dans la Celtide l’histoire, cachée dans les Mystères de Jérusalem, de la grande Myriam, et c’est à partir de ce moment que cette histoire se propage et devient la base du culte d’une Déesse nouvelle, « Maria » que l’on cachera plus tard derrière le mot « Hiram » (« Hiram » doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant l’usage des Européens : Hiram alors devient Maria, le heth « H » final en hébreu se prononce « A »). Maria est devenue « Marie » chez les Gaulois. Maria est dite aussi « Marjolaine », dont on trouve trace dans une quantité de souvenirs antérieurs à l’invasion romaine.
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