On peut commenter ce drame sans diabolisation ni béatification de la victime et des ses proches. Mais force est de constater que d’emblée il y a eu un pathos sur la jeunesse et l’origine de l’automobiliste décédé, sans prendre en considération le comportement et les circonstances ayant amené au drame.
Les termes ’’meurtre’’, ’’exécution’’, etc. ne sont pas applicables au tir instinctif du policier entrainé par le démarrage en trombe de la voiture, sur perception de danger immédiat, il aurait pu tomber sous les roues ou être écrasé contre le mur.
Il y a eu une faute dans la communication initiale faisant mention de véhicule fonçant sur les policiers, falsification volontaire ou formulation déformée ? Cela a contribué à envenimer dès le départ la perception de ce drame.
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