En effet, la lecture, tout comme la musique classique, la perspective ou l’écriture, permettent une structuration de la pensée, des émotions, du corps et du cerveau.
Ceci-dit, la « lecture de masse » est récente dans l’Histoire. Et dans la nouvelle féodalité keynésienne promue par les islamo-wokistes (de LFI à Blackrock), la lecture redevient l’apanage d’une minorité de clercs. Les masses devenant des « serfs de la glèbe numérique » (dixit de Villiers).
Ceci-dit, une partie de l’activité sur écrans est consacrée à la lecture et l’écriture malgré tout. Et il n’est pas vrai que les gens ne regardent que des âneries sur internet. Enfin, j’ai pu constater (sur moi-même) que le livre reprend le dessus quand il est plus intéressant que les écrans.
99% de la production livresque contemporaine est du sirop socialisant (de gauche ou de droite). Les gens préfèrent donc l’original à la copie, « l’écran poubelle » au « livre poubelle ». C’est bien un réflexe de socialiste que d’accuser les gens... et d’imaginer des « Goulags du Livre » pour les forcer à lire de mauvais livres socialistes. Commençons donc par proposer des livres intéressants ; et observons le résultat...
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