la gauche est condamnée à 2 pôles : social-démocratie ou bolchévisme tyrannique. En gros, soit on ne change pas grand chose soit on bascule dans la tyrannie sanguinaire.
Car il n’y a pas 36 manières de procéder au socialisme : soit on augmente les impôts et le système redistributif à l’intérieur du cadre existant, soit on procède à une confiscation violente et étatisation de la propriété privée.
Dans les deux cas on évolue vers un système bureaucratique et clientéliste, puisque le destin de chacun dépend de la place qu’il obtient dans le circuit de ponction-redistribution et non plus dans le circuit production-marché.
Mélenchon nous avait vendu Lopez-Obrador (le prédécesseur et parrain de cette dame) comme un « camarade ». La révolutiòn ramenée à un Mitterrand mexicain... C’est tout le problème du discours de la gauche. Une fois au pouvoir elle doit choisir entre les deux options, qui sont pour finir deux formes de l’inévitable trahison.
Ceci posé, la social-démocratie est évidemment un moindre mal par rapport au bolchévisme. Et je peux comprendre que certains y trouvent leur compte. Même si on regarde souvent ce qu’on y gagne (des aides) sans trop considérer ce qu’on y perd (impôts). Chacun fera la balance gains / pertes.
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