Les faits sont plus têtus que les opinions et contrairement aux humains la mort sait faire correctement le décompte des cadavres. L’entité sioniste en Palestine a fait cent fois plus de morts de civils innocents que n’en ont fait les émanations de la population palestinienne.
Il n’y a aucun doute que quand un mouvement de résistance à l’occupant tue des innocents, en particulier civils et mineurs, c’est du terrorisme, pratique également courante des forces sionistes en Palestine.
Le 7 octobre 2023, le jury ne s’est pas encore totalement prononcé (par rétention d’informations de l’occupant en question) sur la nature (civile ou militaire) des victimes et qui a fait quoi. Mais on a de nombreux indices pour penser que les forces sionistes ont dû tuer ce jour là des dizaines de civils, possiblement au delà de la centaine (de leur propre population) , sans que ça dérange certains. Il est bien documenté que les bombardements massifs sur la bande de Gaza ont visé massivement les infrastructures en particulier de soin et de santé, que le taux de décès chez les journalistes est statistiquement très improbable si on veut l’expliquer en termes de dommages collatéraux et vu la nature de la population, l’essentiel des victimes sont des femmes et enfants, ce qui qualifie l’accusation de « crimes de guerre ».
On soupçonne que le nombre de victimes dépasserait aujourd’hui les 200 000 et sur accusation de l’Afrique du Sud une instance internationale doit qualifier (non vous ou moi) si nous sommes dans le cadre d’une tentative de génocide ou pas.
De nombreux juifs ont clairement dit que si les gardiens d’un camp de concentration ont le droit de se défendre, les occupants du dit camp ont également le droit de vouloir briser leur confinement, y compris par des moyens violents.
Il devrait crever les yeux d’un aveugle que cette bande de cinglés, cet artefact du mouvement colonialiste initié par le « petit blanc », qui déshonorent la religion juive n’ont jamais eu l’intention de cohabiter avec les occupants légitimes de ces territoires ni même d’accepter la solution à deux Etats.
Il n’y aura de place pour eux que dans les poubelles de l’histoire.