A part que c’est exprimé de façon brouillonne, ce que vous dites ici est juste mais n’est pas en contradiction avec ma remarque que vous semblez n’avoir pas comprise.
Dans votre article, vous écriviez : « Qui peut croire sérieusement que les banques détruiraient cette monnaie si elle avait la moindre valeur ? »
Cette phrase suppose que les banques ont le choix entre détruire et ne pas détruire la monnaie, que cette destruction est un acte volontaire. Or il n’y a aucune action volontaire, aucun choix : tout est automatique. C’est la raison pour laquelle le terme « destruction » n’est pas le plus indiqué. Il prête à confusion, en tout cas apparemment chez vous.
Le remboursement d’un emprunt fait que votre compte est débité. Son solde diminue donc. Or c’est le solde de tous les comptes en banque qui constitue la monnaie scripturale en circulation. Il y en a donc moins. Sans que la banque ait pris la moindre décision.
Car il faut savoir que les monnaie aux mains du secteur bancaire ne fait pas partie de la masse monétaire. Quand vous remboursez votre emprunt, l’argent qui entre sur le compte de la banque cesse de faire partie de la masse monétaire.
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