@Alexandre Gerbi
Bonjour,
Article intéressant, rappelant certaines pages de l’histoire de notre et celle d’un homme patriote dans l’âme, une partie trouble de l’histoire de notre Pays d’après guerre.
Le problème « Algérien » est complexe, il restera un éternel débat sur le fait d’avoir abandonné cette « colonie » et les conditions de cet abandon, ou nombre d’Algériens de souche se sentaient véritablement Français. Et nous constatons encore aujourd’hui ce dernier. Il est allégrement oublié aussi, les Français « appelés » qui ont été obligé de partir 36 mois là bas, ce qu’ils ont vécus pour quelques uns les marquants à jamais, certains n’en sont pas revenus d’ailleurs. Mais c’est un détail de l’histoire pur reprendre un mot connu.
La vie de J.M. Le Pen à toujours et volontairement amalgamée se résumant qu’à deux choses, une erreur monumentale sur un fait de l’histoire mondiale concernant un peuple, ou même encore aujourd’hui, de simples constats vous classe immédiatement et irrémédiablement dans un « antisémintisme » nocif pour la société et un pseudo « racisme » tout autant dangereux.
Son décès, dérange une partie de la classe politique, il était l’un des leur, osant dire tout haut ce qu’ils pensaient tout bas (certains même reconnaissant à mots couverts, que pour l’immigration, il était visionnaire), puis certains « crachent » dessus alors qu’ils n’étaient même pas nés, se basant sur des qu’en dira-t-on d’amalgames, qu’ils ont entendus dans leur jeunesse. Ne s’arrêtant qu’aux propos, dissertant dessus ne cherchant point d’en comprendre le contexte, par un manque évident de culture, de savoir et de connaissances.
J’ai très souvent constaté qu’évoquer M. Le Pen lors de débat avec « l’élite bien pensante » était toujours un grand moment de n’importe quoi, « Ils » avaient une bête infâme à abattre, faisant étalage d’un savoir littéraire, s’érigeant en défenseur de la « République » alors que dans la réalité de leur vie, à part la parole et la plume, ils n’ont en rien concourus à son maintient. Nul doute que cela se poursuivra.
Ont ne peut retirer à cet homme, dont je n’approuvais pas toutes les idées, loin de là, le véritable patriotisme qui était chevillé à son corps, si tant est que ce mot est encore un sens aujourd’hui. Lui même ayant servi la nation physiquement en plus. Etais-ce pour le bien ou pour le mal, je ne jugerai pas, mais il l’a fait. Ce que bon nombre d’entre ne peuvent prétendre.
Maintenant pour conclure, j’ai regardé, comme beaucoup je pense les images choquantes de la « célébration » Place de la République. Pensant d’abord à une erreur journaliste sur le terme employé.
Je fut sidéré, par l’irrespect preuve d’une déliquescence nauséabonde des valeurs d’une partie de la population, sans compter le choix du lieu, alors que l’insulté en était un de ses plus fervents défenseur., quoique l’on en dise.
Quant aux explications fournies par quelques interviewés sur leur présence, le crétinisme était de vigueur ce soir là. Me faisant penser aux paroles d’une chanson, Je ne pensais pas que l’on puisse autant s’amuser autour d’une mort. Est ce que ce monde est sérieux ?
Nul, doute aussi que dans les mois à venir, fleuriront des débats toujours avec les mêmes évidemment sur l’héritage, laissé par l’homme.
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