Ayant travaillé en tant que prof d’espéranto à plein temps, pendant 4 ans, j’ai vraiment eu la possibilité d’expérimenter et de vivre « dans cet état » de penser, rêver et parler seulement en espéranto 24h/24. J’avais mon appartement dans un centre international espérantophone qui proposait des cours, conférences et séminaires, ou tout simplement des vacances aux espérantophones (ou aux débutants) venant de différents pays, d’autres continents aussi. Non, ca n’a pas été de la traduction mentale, c’était du « live », « en direct » en Eo. Et un espéranto « fluent »... pas besoin de réfléchir à la construction des phrases ou chercher, traduire des mots. Quand on est dedans, on y est comme vous en français, le sénégalais en wolof ou l’inka en quéchua.
Aujourd’hui aussi, quant je pense aux choses liées à l’eo, je « switch » (automatiquement) à l’espérantophone et ca se passe tout naturellement et en esperanto ekskluzive.
Le plus simple de l’expérimenter ce qu’on vit quand on le parle, c’est de l’apprendre, mettez-vous y, ce n’est pas difficile, ni long à faire. On est là pour vous conseiller ou vous donner un coup de main dans l’apprentissage. (avec le « oueb » et les mp3, c’est rapide, facile et efficace...). Juste pour avoir l’expérience personnelle.
Ensuite, disons, dans un mois, on pourra continuer la discussion entre connnaisseurs... En attendant, ce n’est que des suppositions, idées faites et des spéculations de l’extérieure... (en tout cas concernant ceux qui ne l’ont jamais appris).
Nu, komencu !
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