En fait je ne comprends pas grand chose à ce rachat, même après la lecture de l’article qui me laisse sur ma faim.
C’est certain, dit l’auteur, que l’opération est dénuée d’intérêt sur le plan financier.
Il s’interroge alors : Nul doute que la vraie raison de l’acquisition est à trouver ailleurs, du côté du poids politique du journal (...).
Quel poids politique, quelle crédibilité aura ce journal après ce rachat contre nature ? Aucun.
Contrairement aux commentaires qui précèdent, je trouve que les Échos était un journal plus « libre », que, par exemple, le Figaro.
Je pense que la manoeuvre consiste donc à éliminer un contradicteur de la politique économique du gouvernement.
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