Will Smith est bon, comme toujours, et comme souvent, il ne sauve pas le navet dans lequel il s’est vautré...
La fin me choque, vraiment, car elle semble inspirée par les pires fantasmes millénaristes d’outre atlantique ; seul survit une petite communauté de Justes, à l’ancienne, avec leur petite grange avec des toits à deux pentes, etc...
La plebbe méritait bien de crever pour assurer le Renouveau, comme c’est clairement dit par une espèce d’illuminée : il y a une communauté de survivant (de « justes » ?) parce que Dieu le lui a dit... et comme par hasard, elle la trouve on ne sait comment, et c’est l’épilogue. Hallelujah !
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