Bonjour,
Merci ce votre commentaire, il m’a permis de me rendre compte que je m’étais emmêlé les crayons et que ma conclusion n’était pas la bonne. Elle devrait être :
"L’existence de psychotropes efficaces et bien tolérés, la généralisation de leur emploi, leur utilisation potentiellement perverse comme substitutif au jeu social (dans un sens extensif), sont des phénomènes qui ne pouvaient s’envisager lors de l’écriture de la définition en 1946. Il est maintenant indispensable de réexaminer le problème."
J’ai employé à tort le terme bobo de l’âme car il fait référence à quelque chose qui n’est pas évoqué dans mon article : la prescription de psychotropes dans des indications où ils n’ont rien à faire : le blues, le mal-être diffus, le lifting moral... et autres choses du genre. A jeter donc ici.
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