Je constate avec amusement (car il vaut mieux en rire, n’est-ce pas ?) que tous les prétextes seront bons pour dénigrer l’espéranto :
- pour les uns elle n’est pas assez « parfaite », pas assez « pure », pas assez régulière et on s’acharne à proposer d’autres langues construites, soi-disant plus régulières, plus faciles à apprendre et plus équitables
- pour les autres, elle sera au contraire trop régulière, trop froide, trop « artificielle ». On lui reprochera son manque de « naturel », les petites et grosses imperfections qui sont le cauchemar des étudiants, mais qui fondent la beauté d’une « vraie » langue.
Dans les deux cas, on a généralement affaire à des personnes peu informées (ou ne souhaitant pas tenir compte) des réalités du terrain. Comment leur expliquer ? On prend vraiment conscience de la beauté et de l’efficacité de l’espéranto en le pratiquant dans un contexte international, pas en menant - seul et sur la base de prémisses incomplètes - une sombre réflexion purement intellectuelle.
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