On arrive au but ultime, c’est-à-dire au bien-être des enfants, et à leur autonomie réelle.
Elles sont américaines, et selon la loi de l’état californien, étant nées en Californie, ont comme parent deux Français avec qui elles vivent, en France.
Refuser cette réalité, en passant par le déni de retranscrire leur état civil en France est archaïque. Le réel impose sa loi face au fantasme, fût-il celui conservateur de l’angoisse des biens pensant.
La justice se cabre, il appartient donc au politique de la détendre, en changeant la loi bio-éthique, afin que ces enfants puissent bénéficier comme tous les enfants dont les parents vivent en France, de la reconnaissance de leur identité, donc de leur filiation. Cette dernière ne s’appuyant in fine que sur la déclaration de ceux qui les ont désirées, et qui les assument.
La France ne saurait restreindre arbitrairement l’autonomie de deux de ses enfants, fussent-ils nés ailleurs que sur son sol .
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération