La voiture est un élément essentiel du développement économique des années 60.
C’est le rêve de l’ouvrier qui veut accéder au luxe, au sens du mot, abondance.
En même temps elle implique un développement de la société à l’américaine, avec des banlieus pavilonnaires à l’infini comme dans les films de Tim Burton. Et des supermarchés eux aussi issus du rêve consumériste.
En même temps ce sont tout d’abord les classes aisées qui vont promouvoir l’auto et la maison individuelle, exemple typique de banlieue résidentielle de l’époque, les Yvelines.
Aujourd’hui ces mêmes classes aisées ont réinvesti Paris (vidé de ses pauvres) et elles roulent en vélib.
En fait elles sont toujours à la pointe de la modernité du moment.
Les gens modestes eux habitent à 20, 30 kilomètres de leur lieux de travail dans de l’habitat standardisé.
Cherchez l’erreur.
Oui, décidément, une autre politique d’aménagement de territoire était possible, je pense à la Suisse ou à l’Allemagne, mais c’est peut être trop tard.
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