Vous écrivez : "Ces universitaires contestent le fait que l’on puisse demander à ceux qui feraient moins de recherche d’enseigner plus, et à ceux qui ont une activité de recherche plus important (sic) d’enseigner moins " ; ce n’est pas étonnant. En effet, le principe même de la transmission d’un savoir vivant est l’une des forces de notre enseignement supérieur : un professeur qui ne ferait plus ou peu de recherche ne ferait que répéter les découvertes de ces collègues chercheurs ce qui ne pourrait qu’appauvrir son propos.
Quant à l’espace démocratique offert selon vous par la loi LRU, il se résume à une simple recherche de rentabilité économique et à une disparition programmée de la recherche pure (avec ses essais et erreurs) ; il est synonyme également de choix douteux (voir clairement politiques) quant aux sujets de recherches valorisés en sciences humaines par exemple ; j’en veux pour preuve "l’inquisition" que mènent les membres de l’AERES (allez voir leur site Web si vous aimez rire) que vous avez sans doute déjà vu à l’oeuvre puisque vous êtes vous même enseignant et chercheur.
Votre article est intéressant mais il est clairement partisan d’une politique...disons, pour faire simple, de droite.
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