Je suis entièrement d’accord avec ce que vous venez d’écrire.. Il suffit de me relire :
"Les clones du VIH eux-mêmes sont la source de ces ions" , les peroxynitrites. La différence notable entre le travail d’Acquaro et ceux que vous citez réside dans la nature des oxydants considérés. Par exemple, l’eau oxygénée n’est pas un agent nitrant, contrairement au composé covalent formé par action des peroxynitrites sur le dioxyde de carbone.
Mais je rajoute :
"mais sont détruits si ces ions disparaissent. Il y a donc une interdépendance entre le VIH et les peroxynitrites."
J’aurais mieux fait d’écrire "ne se répliquent plus", car c’est cette phrase-là qu’ont utilisée Acquaro et al.
En ce qui concerne l’activité sportive, les substances oxydantes formées ne suivent pas la même voie métabolique que les donneurs de NO dont j’ai parlé, et en particulier ne touchent pas le gros intestin, dont il semble maintenant acquis qu’il s’agit d’un des lieux essentiels où s’exerce l’immunité.
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