"Une langue, c’est un peu ce qu’est la monnaie, comme l’euro qui a remplacé les monnaies d’antan en Europe. "
L’anglais est donc bien une langue susceptible de remplacer les toutes autres.
Il suffit d’examiner ce qui s’est passé en Écosse ou en Irlande pour s’en convaincre : l’anglais a détruit les langues locales.
L’espéranto pourrait-il devenir à son tour une langue destructrice, plus peut-être que l’anglais, le français, le russe et le mandarin réunis ?
S’il a fallu 50 ans à l’anglais pour s’imposer en Europe ; il en suffirait de 5 pour l’espéranto.
C’est ça qui est terrifiant. Réalisez-vous que dans cinq ans, 3 milliards de terriens (sur les 7.184.769.186 d’alors) sachant lire et écrire, et âgés de plus de 15 ans parleraient espéranto comme deuxième langue !
Il faudrait probablement y ajouter le milliard d’illettrés qui trouveraient l’espéranto plus facile à lire et écrire que leur langue nationale.
Le marché de l’espéranto devenant très porteur, tous vont s’y engouffrer, au détriment des autres langues.
La vrai question est faut-il protéger les langues nationales, et comment faire ?
L’anglais est tout compte fait, une menace mineure.
En tout cas, moi je suis prêt à tout. I am ready for whatever eventuality. Mi delonge estas preta, kio ajn okazos.
Remuŝ
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération