Par la grâce du dirigeant qu’elle mérite et qui la symbolise, la France est apparue pour ce qu’elle est, un inépuisable sujet de plaisanteries.
Le chef de l’Etat a persiflé la quasi totalité de ses partenaires du G20. En revanche, aux yeux de notre Maître étalon de la connerie, désormais érigée en véritable discipline nationale, Silvio Berlusconi a le mérite d’avoir remporté trois élections. Donc le pire est encore à venir. Je le crains.
Imprimée le lendemain dans Libération, quotidien mauvais Français, l’information s’est ensuite répandue à travers le vaste monde. Le Guardian britannique illustre assez bien les analyses de la presse internationale : « [...] Il a irrité avec sa vantardise, épuisé avec son hyperactivité, choqué par ses attaques politiques à la télé et ses textos envoyés pendant les réunions. Mais aussi impressionnants que soient ses antécédents, il vient de les surpasser tout seul [...] ».
Ainsi, Sarkofrance nous le suggère : « Nicolas Sarkozy donne l’exemple. On peut donc se moquer des chefs d’Etat ». J’ajoute que ce droit s’exerce même et surtout lorsque le sujet est immature, vulgaire et arrogant ; tellement Français aurait beau jeu d’ajouter le reste du monde.
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