L’innovation « grâce au privé » n’est pas q’un slogan :
Il s’agit seulement d’une réflexion de bon sens : Lorsqu’un monopole fait un choix technologique, il peut être bon (TGV), mais il peut être mauvais (Numeris).
En revanche, avec le privé, plusieurs voies sont explorées par plusieurs opérateurs, d’où, une plus grande efficacité dans l’innovation.
Autre raison, un opérateur privé doit sans cesse satisfaire au mieux ses clients, au risque de les voir fuir. Il doit donc proposer le meilleur service au meilleur cout. Pas de ce type de contrainte dans un monopole publique.
Un exemple parmi tant d’autre :
Après fermeture de sites, restructuration, réduction d’effectif, réorganisation, la Banque de France se révèle, dans un rapport de 2006 de la cour des comptes, 2 à 3 fois moins efficace que le secteur privé pour l’impression de billet de banque. Imaginez le surcoût avant ces réorganisations ! (idem SNCF, France Telecom avant libération du marché, Imprimerie Nationale ...)