Chacun l’a remarqué, les imprimantes à jet d’encre aujourd’hui sont bon marché mais les cartouches coûtent les yeux des fesses.
Pire, il faut les changer au bout de quelques photos en raison de leur capacité ridicule, et c’est un désastre pour l’environnement.
Et, comble de l’imposture, c’est le logiciel qui décide qu’une cartouche est vide (et arrête l’impression) même si elle glougloute encore quand on la secoue.
Comme si un peu de transparence ne pouvait pas nous permettre d’en juger de visu.
Ai-je besoin d’un logiciel pour voir si le niveau de ma bouteille de Juliénas est dangereusement bas ?
A l’origine, il y a bien sûr cet oligopole (Canon/Epson/HP, la bande des quatre si l’on y inclut Brother).
Les mauvaises langues pouraient penser qu’ils s’entendent comme larrons en foire pour nous tenirs captifs du marché des consommables.
Ah ! S’il y avait un standard ouvert pour les dimensions de la tête d’impression, le mode d’alimentation et la composition des encres (qui pourrait être améliorée pourvu que la compatibilité soit préservée).
On pourrait d’aillleurs imaginer un quadruple réservoir, que l’on remplirait avec un système du genre burette à huile.
Outre un avantage écologique évident, cela induirait un gain de poids favorable à une plus grande rapidité et/ou une plus grande autonomie.
Il n’est pas saugrenu de penser que le libre puisse s’appliquer aussi à l’industrie...
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