Un petit détail intéressant sur l’IPCC (le GIEC).
En consultant la liste des scientifiques ayant participé aux travaux du Groupe de Travail I ( domaine scientifique) du rapport 2001 du GIEC, en tant que rédacteurs ou évaluateurs, j’ai eu la surprise de constater que le Royaume Uni fournissait 39 d’entre eux tandis que, par exemple, la France, comme l’Inde, n’en fournissait que 5.
Comme il ne pouvait s’agir d’un rapport de proportions entre les populations ou les surfaces territoriales... ni d’une grande différence de qualité des chercheurs dans ces pays... j’ai d’abord pensé que l’IPCC effectuait une sélection de ses chercheurs sur des critères inconnus mais que l’on aurait pu, de mauvaise foi, penser être liés aux convictions de ces savants sur le sujet.
Non.
Mais la vérité n’est pas plus rassurante !
Dans son site ipcc.ch, l’IPCC après s’être longuement présenté comme étant l’organisme le plus en pointe dans le domaine du réchauffement climatique nous informe tout naturellement que tous les scientifiques qui viennent travailler pour lui, y viennent sur la base du volontariat.
Serait-ce là le grand secret de cette fameuse unanimité scientifique autour de l’anthropogénie du réchauffement climatique ?
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