Encore moi Vincent. Que veux-tu dire par un film plus « warholien, plus démultiplicateur d’images à l’instar de l’affiche patchwork » ?
Pour ma part, j’ai apprécié que le film soit assez classique avec des cadrages stables ( prises de vue de travail). Cela nous a permis de voir une dernière fois Michael vraiment . Je n’ai regardé que lui la première fois ! Je n’aurais pas aimé le voir filmé avec une caméra trop dynamique comme on le fait souvent pour les diffusions TV afin de donner de la vie aux artistes... C’est souvent un « cache-misère » mais Michael n’en avait pas besoin !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération