bonjour olivier
excellente ta comparaison entre la partie concernant la vie des gens de jerrico, si mes souvenirs sont bons, considéré comme la ville impie qu’il ne faut pas reproduire et qui sera détruite ; et la partie de Meim kampf.
ne pas lire a la lettre exige de retrouver le sens que les mots avaient à leur époque, par exemple pêcher signifier se tromper de route, ce qui peut parfaitement être interprété comme ne pas suivre la loi des commandements, Adam et Ève ne sont pas des personnages mais signifie l’homme et la femme ou le masculin et le féminin. il ne faut pas oublier que l’écriture à été faite pour des illettrés par des personnes très éduqués, des initiés avec une bonne connaissance de l’homme et de l’existence, il ne faut pas douter de cela,
souvent je disais dans les discutions que les contradictions que nous trouvions dans les textes étaient le signe que ce sont les hommes qui ont écrit leur vision des règles à appliquer pour que leur existence ne soit pas un cloaque. et qu’y avait t-il de mieux que utiliser ce en quoi ils croyaient déjà « dieu ». je ne crois pas qu’il faille imaginer que les idolâtres ne savaient pas qu’ils s’adressaient à des sculptures de pierres ou de bois, ils avaient des prêtres pour traduire l’esprit de leurs dieux qui se manifestaient par leur intermédiaire les prêtres l’interrogeaient les divinités et donnaient les réponses. le même principe a était utilisé avec Moïse, lui seul entendaient la parole de dieu, et rapportait ses paroles ce sont les intercesseurs. il ne faut pas non plus oublier le nombre de livres apocryphes qui furent écartés.
est-ce que cela invalide les écritures certainement pas, nous ne pouvons rien créer (sortir du néant) tous ce que nous disons faisons vient d’un souvenir inscrit dans nos gènes ou compilé dans notre mémoire analogique au contact de l’environnement par nos sens.
dieu est-il bon ? il n’est ni bon ni mauvais il est le verbe par lequel se développe toute chose il est la nature, elle n’est ni bonne ni mauvaise.
est-ce que dieu excite ? bien sur, s’il est celui qui procède à la création et a l’ordonnancement de toute chose, que ce soit par le déterminisme ou l’aléatoire.
qui nous assure de la véracité de cela ? nous humain. si un jour mon chat me dit que dieu existe alors je commencerais à y croire.
y a-t-il un monde que l’on ignore ?. bien sur, nous savons qu’il est le produit de fréquences décodés par l’espèce qui les captent.
c’est comme cela aussi que l’univers existe parce que nous encodons toutes les fréquences que nous décelons.
si notre regard était des rayons X nous ne verrions de nous que des os et pourtant tout le reste existerai, et nous mourions d’une fracture du bras en ignorant ce qui nous emporte.
qu’aurions nous expliqué pour comprendre pourquoi les os de nos mains n’arrivent pas à se toucher, séparé par l’espace de chair devenu invisible à notre regard.
pour comprendre ce qu’avaient compris en leur temps les initiés qui se transmettaient leur savoir, il a fallut vulgariser leurs connaissances et en donner des explications dans l’esprit des espérances du moment, certainement. mais nous pouvons aussi convenir que par le mot ou le verbe, nous construisons toute chose que la « nature » accepte comme recevable et viable,sinon cela aurait disparu de fait.
donc dieu existe puisque nous nous y référons toujours et non pas parce qu’il est réellement sous la forme dont nous parlons, de ce que nous avons compris du monde que nous lui attribuons.
tous ce que nous pensons est en potentialité d’être, c’est un peu difficile à comprendre parce que il ne faut pas prendre nos mots à la lettre, mais comprendre ce qu’ils traduisent, car ce ne sont qu’avec eux que nous traduisons nos perceptions émotionnelles, et l’on ne peut pas considérer qu’ils suffisent a expliquer l’infinitude. comme tous les livres ne peuvent en quelques lignes expliquer la même chose.
sauf que ce que nous avons décryptes de notre pensé ne se réalisera pas forcément dans la lettre des mots que nous avons utilisés.
jules Verne dans son imaginaire avait décrit sa première fusée comme un obus transportant des hommes dans un espace cossus. il ne pouvait concevoir les fusée d’aujourd’hui puisqu’elles sont le produit de nos connaissances scientifiques sur les trajectoires et les résistance de l’air etc qui se sont développés depuis.
il en est de même avec dieu, sauf que l’attachement à la lettre des livre lui assure sa durée par la répétition permanente des textes que la « sacralité » empêche de toucher. il est certain que l’interprétation serait de nature à faire évoluer la lettre.
conard en allememand dans son écriture germanique que je ne me rappelle plus, signifié chevaleresque, nos sommes loin de la définition d’aujourd’hui.
cordialement.
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