GIEC, quelques précisions tirées de cette page.
En matière de science, le scepticisme est un devoir
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- "Les comités d’experts : Il faut en rajouter si nous voulons survivre !
Mettre
en place un comité d’experts censés faire la lumière sur tel ou tel
sujet épineux constitue la réponse favorite de nos politiques
lorsqu’une question à base scientifique se présente. Cela donne, en
apparence, un fondement indiscutable aux décisions qui seront prises
par la suite.Cependant, il faut savoir que, le plus souvent, la partie
est jouée avant d’avoir commencé. Le titre du comité d’experts dit tout
! Par exemple, il ne faut pas attendre d’un groupe nouvellement formé
sous l’appellation , “Groupe Intergouvernemental pour l’étude du Climat- GIEC ” (en anglais, : IPCC
signifie International Panel on Climate Change ), quelles que soient
les personnalités éminentes qui y participent, qu’il conclue qu’il n’y
a pas de changement climatique et qu’il ne trouve rien ! Sinon, finie
la raison d’être de ce célèbre panel et les avantages et honneurs qui
vont avec.- Mais dans le cas du GIEC, les attributions sont encore plus claires. A ce propos, voici le paragraphe introductif des statuts officiels du GIEC.
Il en définit la mission : - "Le
rôle du GIEC (IPCC) est d’évaluer, sur des bases scientifiques,
techniques et socio-économiques, les informations relatives à la
compréhension des bases scientifiques du risque résultant du changement
climatique anthropique, de ses impacts potentiels et des options (NDLR : utiles) pour l’adaptation ou l’atténuation" .
- Dès lors, il ne faut s’étonner que le GIEC
s’efforce, à tout prix, quelles que soient les difficultés, de
démontrer l’importance de l’action humaine sur le climat en négligeant
toutes les causes naturelles. Ce faisant, il ne fait rien d’autre que
de remplir la mission qui lui a été attribuée.
-
Ce vice de construction est malheureusement des plus fréquents et
résulte du processus suivant : Un groupe de pression, faisant
généralement partie d’une de ces myriades d’associations qui militent
pour les causes les plus diverses (et parfois cocasses), tire la
sonnette d’alarme en dénonçant un grave risque sociétal.
[...] - Le GIEC (IPCC) est une sous branche du « UN Environmental Program » (UNEP,
le Programme pour l’Environnement de l’ONU). Ce vaste organisme
international qui chapaute le GIEC, s’est ouvertement orienté vers les
thèses les plus intégristes de l’écologie planétaire. On comprendrait
qu’il est de son devoir de veiller à l’intégrité du globe et de lutter
contre toutes les formes de pollution. Néanmoins, et toutes proportions
gardées, certaines de ses démarches se rapprochent beaucoup d’une, sorte de religion de la planète.
[...]
The United Nations Environmental Sabbath Service - From
“Only One Earth,” a United Nations Environment Programme publication
for “Environmental Sabbath/Earth Rest Day,” June 1990 ; UN Environment
Programme, DC2-803 United Nations, New York, NY 10017. "
- Vous y trouverez une publication de cet organisme de l’ONU qui appelle
à la célébration d’un jour de « Sabbat » (ou de réflexion) sur notre
comportement par rapport à notre terre ce qui, après tout, n’est pas
critiquable. Mais ce document est, en fait, une liste de prières que
l’on doit réciter ce jour là. Le texte est absolument édifiant. Voici
le début de la première prière. Les suivantes sont du même tonneau et
se terminent par un Alléluia à la planète suivant le schéma très
classique des grandes religions
A prayer of Sorrow - Reader : We have forgotten who we are.
- We have forgotten who we are
We have alienated ourselves from the unfolding of the cosmos
We have become estranged from the movements of the earth
We have turned our backs on the cycles of life. - En français : Acte de contrition
- Nous avons oubliés qui nous sommes
Nous nous sommes éloignés du déploiement du cosmos
Nous nous sommes séparés des mouvements de la terre
Nous avons tournés le dos aux cycles de la vie. - Suivent une « acte de rémission » puis une « prière de gratitude »
dont les textes laissent rêveurs. Il ne s’agit rien moins que d’une foi
religieuse... Dans ces conditions, on se demande comment, le GIEC
(IPCC), qui dépend directement d’un organisme qui affiche de telles
convictions, peut être qualifié d’organisme "objectif et
scientifiquement indépendant".