La climatologie, science jeune et encore très imprécise a un gros problème : un organisme intergouvernemental, le GIEC, s’est emparé de la réalité climatique pour la transformer en une « vérité » catastrophique. Dès lors, toute remise en question de ses conclusions est présentée comme une attaque contre le climat (qui s’en fout évidemment), contre la terre (qui s’en fout aussi, ce n’est pas une personne) et contre l’humanité.
Dans toutes les autres sciences, la réfutation des théories est l’instrument majeur de leur progrès et, par conséquent, la critique est acceptée, voire recherchée au travers des publications dans les revues à comité de lecture.
La climatologie du GIEC ne fonctionne pas comme cela et c’est pour ça qu’elle n’est pas de la science mais un instrument politique.
La mise en relation des avancées de la science et des thèses catastrophistes est une grave supercherie.
Un mot sur les 90% de confiance : ceci est une notion statistique ; elle suppose qu’on dispose d’un écart-type qui pourrait représenter l’erreur mais on ne sait pas ce qu’on a mesuré : c’est de la bouiilie pour les chats
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