A French Car
« Elle (La Cour d’Appel) reconnaît que les propos litigieux étaient bien diffamatoires, car ils portaient « incontestablement atteinte à l’honneur et à la réputation des professionnels de l’information ».
Excact, mais elle continue en affirmant que la diffamation est légitime vu les nombreuses fautes professionnelles de Charles Enderlin et de France Deux. Elle affirme qu’on a assez d’argument pour affirmer en toute bonne foi que ce film est un faux, donc que la diffamation n’est pas punissable.
Karsenti a prouvé que Charles Enderlin et Arlette Chabot étaient méprisables, qu’on pouvait porter atteinte à leur honneur, vu qu’il n’en avaient plus ! !
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