Quand Paul Villach voit une nénette rouler un cigare entre ses deux pomélos, il sort son encombrant et prétentieux appareillage dialectique pour pontifier trois pages durant sur les dangers du leurre d’appel sexuel.
Mais quand une chaîne de télévision publique met à profit l’instinct de mort de ses téléspectateurs, travestissant en documentaire le voyeurisme le plus odieux, monsieur se pâme. On perçoit bien là les limites et la vanité de son acuité intellectuelle.