Absolument. Je partage votre analyse. Les adversaires, à droite comme à gauche, de S. Royal auraient tort de sous-estimer sa stratégie, sa pugnacité et son extraordinaire capacité à rebondir.
La France, il faut aller la chercher, il faut la prendre, il faut la conquérir et la seule qui en ai réellement envie, et qui soit dans la possibilité de le faire, à gauche, est bien S. Royal.
Strauss-Kahn est bien trop dilettante et bien trop installé dans son confortable fauteuil à Washington pour venir se frotter au plus dur combat qui soit pour un politique : une camapagne présidentielle. Quand à M. Aubry elle n’avait déjà pas envie du siège que les apparatchiks socialistes lui ont offert à Solférino (« vous m’avez foutue dans la merde » leur aurait-elle dit : « Maintenant, il va falloir m’aider »), ce n’est pas pour aller briguer le trône suprême. Elle n’en a pas envie : comme son père, elle renoncera.
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