Si les autorités espagnoles avaient une réelle volonté de mettre en fin à la torture, elles auraient déjà suivi les injonctions d’Amnesty International et des autres organismes internationaux : mettre fin à la garde-à-vue incommunicado, permettre au détenu de voir son avocat et un docteur à n’importe quel moment, filmer ce qui se passe dans les commissariats. Or, ce n’est toujours pas le cas. Donc tout reste permis durant ces garde-à-vues, notamment le pire.
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