Malheureusement, Gbagbo n’était pas élu.
Tout deux la CEI de Côte d’Ivoire, et l’ONUCI qui l’a certifié par analyse indépendant, ont déclaré que Ouattara était élu par une marge claire.
La déclaration du Commission constitutionel était basé sur les résultats de la CEI, après déqualifier la vote dans des départements du nord qui ont fortement soutenu Ouattara.
Bien que l’ONUCI, aussi bien qu’observateurs de plusieurs autres groupes, ont constaté beaucoup plus d’irrégularités dans l’ouest en régions qui ont (officiellement) voté en majorité pour Gbagbo.
Alors, une claire tentative de fraude électoral par le Conseil constitutionel.
En plus, la loi ivoirienne ne permet pas le Conseil constitutionnel de déclarer un candidat gagnant sur la base des votes déqualifiés. Plutôt, s’il y a des irrégularités qui peuvent entâcher les résultats finaux, il doit arranger des élections de remplacement.
Notez que, considérant que les résultats du premier tour, non contesté, ont donné à peu près les mêmes résultats, c’est peu probable qu’une reprise de l’élection dans les départements déqualifié peuvent changer le résultat global. Même si 100% des voteurs qui n’ont pas voté voteraient tous pour Gbagbo, il serait loin derrière Ouattara globalement à travers le pays.
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