Les pilotes auto installés sur les B757 étaient et sont d’ailleurs toujours incapables de gérer la trajectoire d’un appareil évoluant en finale à la vitesse à laquelle arrivait l’avion (je parle toujours du 757 du Pentagone et des vitesses d’impact annoncées par le rapport officiel) : un atterrissage automatique, c’est une vitesse de référence pour une masse donnée et des conditions atmosphériques données. Quand il est hors de ces clous, le dispositif se débranche tout seul.
Par ailleurs, contrairement à ce que vous affirmez, à moins de 10 pieds/sol (3 m environ), le radar d’altitude d’un liner devient très peu précis : au sol, roues posées, il indique généralement -4...
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