Monsieur, vous parlez d’effets de dispersion, vous parlez sans doute du ’nuage’ ?
Vous n’êtes pas sans savoir que cette centrale se trouve sur la côte, et que les effluents provenant de l’arrosage des réacteurs se déversent directement dans la mer ? Sans compter l’eau qui s’infiltre dans les sous-sols.
20 000 km² de terre semblent déjà souillés, et nous n’avons à ce jour aucune idée des dégâts en profondeur.
L’eau de mer s’évapore...
Vous ne pensez pas qu’il s’agisse d’une catastrophe mondiale ? L’europe s’est prononcée pour continuer l’importation de produits japonais, la chine elle-même n’est pas loin. En outre, dispersion ou non, le temps qui passe est un facteur déterminant : deux mois et demi déjà que cette centrale vomit ses effluves délétères...
Les japonais connaissent en effet la plus grande catastrophe de leur histoire, et nous aussi, je vous rappelle que l’humanité n’a jamais été confrontée à un tel ’accident’. La preuve : les médias n’en parlent pas et les politiques s’en détournent.
Je vous invite à lire cet article de Jean-Pierre Petit, ancien directeur du CNRS, qui, me semble-t’il n’est pas un plaisantin. Je pense que son avis compte :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/fukushima-la-fin-du-monde-a-nos-94133
Alors oui, changement de paradigme, mais n’est -il pas déjà trop tard ?
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