Il y a quand même un souci, si ce sont des aérosols qui absorbent les rayons incident, ceux-ci sont échauffés d’autant, l’énergie n’est pas perdue, le soleil chauffe toujours autant l’atmosphère. Sur Venus, une faible fraction de la lumière incidente arrive au sol, mais cela ne joue pas sur la température de surface.
De plus, en admettant que le rayonnement au sol ai autant baissé, le manque d’évaporation fait diminuer la couverture nuageuse ce qui réduit la réflexion des nuages et doit faire monter la température. Donc en gros on a des aérosols chauffés en haute atmosphère donc pas de perte de chaleur directe, moins de nuages et donc nouveau réchauffement. Désolé mais la théorie de ce reportage est vraiment fumeuse.
On diraient des gens qui tentent vainement de trouver une « parade » au fait que les prédictions du GIEC sont maintenant contredite par les observations depuis quelques années.
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