Or un rapport du Sénat dit le contraire (cf : « Les possibles effets pervers de l’article 52 » http://www.senat.fr/rap/r96-52/r96-5228.html). D’après lui : « La dissolution progressive des noyaux durs imposés lors de la privatisation des banques de premier ordre (Société Générale, BNP, Paribas...) a également contribué à fissurer les fondements mêmes de la solidarité de place à la française. Ce système ne serait-il efficace que pour les plus petites banques. » et de citer des exemples où la faillite a été inévitable car la « solidarité de place » a été inefficace.
Cette soit-disant « solidarité de place » qui protégerait les banques françaises, c’est donc du flan !