Pardonnez-moi tout d’abord, Pierre Caro, d’avoir usé d’un nom dit de plume pour contribuer à la réflexion que vous avez lancée.
J’adhère à l’idée selon laquelle celles et ceux qui avaient « voyagé », soit volontairement, soit en exploitant les circonstances, de vingt à soixante ans, se trouvèrent moins « dépourvus quand la bise (de la retraite) fut venue ». Je réalise maintenant, symétriquement, que l’entrée dans le monde du travail, une fois mon diplôme en portefeuille,ne m’avait pas non plus créé le choc dont je suis témoin chez pas mal des jeunes que je fréquente : étudiant, j’avais appris à gagner ma vie, à travailler dans des groupes associatifs, syndicaux, culturels, exploré des centres d’intérêt différents de ceux de mes études scientifiques.
Vers les années 70, j’avais fait un peu de créativité chez Synapse et Guy Aznar. Aussi avais-je plus tard lu avec intérêt son manifeste « décalé » :« Non aux loisirs, non à la retraite »...Une saine lecture !
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