L’absence de Mme Delmas dans la campagne municipale m’avait en effet surpris ; il me semblait beaucoup plus logique pour cette jeune femme de commencer par un mandat local plutôt que national (elle avait été écarté de l’élection législative). Les accusations de Nemo à l’égard de Mme de Sarnez auraient donc pu sonenr juste, mais le lien vers le site de Mme Delmas montre clairement qu’elle soutient Mme de Sarnez à Paris, et la tête de liste modem dans le 13ème arrondissement, là où elle aurait pu se présenter.
Dans ces conditions, soit Mme Delmas fait preuve d’une remarquable aptitude à avalerles couleuvres sans rien dire, ce que suggère Nemo mais ce qui sembe assez éloigné de son tempérament, soit elle a effectivement décidé de se concentrer sur le fonctionnement interne de son parti, et les remarques de Nemo sont dépourvues de fondement. comme ce dernier ne fourni aucun élément crédible à l’appuis de sa thèse, cette seconde hypothèse semble la bonne, et Nemo simplement aveuglé par l’antipathie qu’il a envers Mme de Sarnez et Mr Bayrou. tout cela est de toute façon hors sujet par rapport au thème de l’article : être une femme politique en France relève toujours du parcours du combattant...
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