Etranges attracteurs que ceux que vous décrivez dans le cadre de votre analyse des processus mimétiques. A l’instar de Leibniz, on en viendrait à espérer une sorte de kabbalistique, ou caractéristique, qui permettrait de départager les protagonistes-de-rivalités-mimétiques dans le contexte d’un débat d’idées. Eh bien, calculons, désormais, aurait-il dit (la valeur de vérité des énoncés), et, si son projet avait abouti, de telles questions auraient purement et simplement été réglées, de nos jours, à la calculette. Plus sérieusement, et pour inachevé qu’il ait été, son projet de caractéristique universelle visait également à quelque chose de l’ordre d’une théorie de traduction. A ce titre, on pourrait dire que la mimésis, c’est bien souvent quelque chose qui risque de « faire masse », au sens propre comme au sens figuré. Qu’il puisse exister éventuellement un calcul, voire, une géométrie appropriée à la compréhension de cela, et hop, nous voici rendus à devenir relativistes, c’est-à-dire, à considérer les interdépendances.
Question : quel rapport peut-on établir entre l’hypothèse d’une éventuelle autonomisation croissante de la mimésis (processus essentiellement imaginaire), et l’autonomie du symbolique, dont procèdent le langage et la technique à partir du principe de la division ?
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