Personnellement, j’estime que la concentration financière du secteur a déjà opéré ses ravages, sur le plan idéologique - la presse poilitique évoluant dans un périmètre intellectuel de plus en plus étroit. ajoutons à cela l’effet cataclysmique desdites "écoles" de journalisme, véritables usines à standardiser les esprits, en transformant ce touche-à-tout engagé, le plus souvent autodidacte, capable de critique voire d’indignation, qu’était tradtionnellement le journaliste, en technocrate moutonnier de l’info, se faisant un titre de gloire professionnel de s’absenter du monde.
La qualité de l’info ? Mais ça fait déjà belle lurette qu’elle a baissé (relisez le Figaro et le Monde des années 70, vous vous en rendrez compte...) La propagande des financiers, perpétuellement sous-jacente au discours médiatique, induit l’uniformisation du commentaire politique de l’actu. Je dis toujours que plus un journal perd en intransigeance politique, plus s’étoffent ses pages culturelles... On est en plein dedans.
Alors mort à cette presse cadavéreuse.
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