L’histoire de maxim, rapportée à la montre du président, montre bien une chose : celui qui paye le plus cher est celui qui achète la contrefaçon.
Car elle a fait "bling bling " bien peu de temps. Mais sans contrefaçon possible, y ’aurait-il un intérêt pour le "bling bling" ?
Si celui-ci était insupportablement réservé à une classe supérieure, on la renverserait, car finalement aujourd’hui, l’égalité, on y tient. Alors, que Créon suspende son glaive s’il ne veut pas se prendre un coup de fourche.
La "pub" sur la contrefaçon, de "si mauvaise qualité", est une bonne affaire pour les "marques originales". Le problème, c’est que parfois, la contrefaçon est aussi bonne que l’original. Parce qu’il existe un bling bling de pauvre, dérisoire, avec des marques dont il paye lui-même la publicité, en consommant plus cher pour du vent.
Mais ne soyons pas sérieux aujourd’hui pour rendre hommage à l’humour rafraichissant de ce sujet réussi ;o)
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