Bonjour Charles 
Vous amenez une réflexion très intéressante :
- les gens savent très peu combien ils stockent des informations personnelles de prime importance sur leurs joujoux quotidiens auxquels ils accordent une confiance quasi-aveugle.
- sont-ils prêts de se désolidariser de ceux-ci ou d’en réduire leur dépendance ?
Paradoxalement, les premiers à tomber (les délinquants/criminels) seront aussi les premiers à réagir et à s’adapter à cette nouvelle donne pour passer entre les mailles. Ne restera à terme que les citoyens ordinaires dans le filet de la technosurveillance et qui accroîtra la masse de données personnelles par divers services à leur insu.
Cordialement