@ JC Moreau
Ne peut-on invoquer l’autorité de la chose jugée au sujet du professeur qui dans une lettre ouverte tend à faire croire que l’adversaire dont il veut la mise à l’écart, a perdu dans une affaire où il était faussement accusé de harcèlement moral ? Peut-il sans mépriser l’autorité de la chose jugée parler de " (ses) beaux témoignages de moralité" ? Ou ne sert-il à rien d’avoir été reconnu innocent d’un délit dont on a été à tort accusé ?
En fait de "beaux témoignages de moralité ", l’arroseur est arrosé ! Paul Villach
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