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Alexeï 11 décembre 2008 19:39

@ Paul Villach

Merci de m’avoir signalé ces coquilles qui rendent mon propos illisible. La cour d’appel de Nîmes, dans son arrêt du 13/06/1995, a rappelé que la principal-adjointe qui avait diffamé un professeur lors d’un conseil d’administration et que cette attitude contrevenait à l’article 8 du décret du 30/08/1985 : « Le chef d’établissement veille au bon déroulement des enseignements » et a ajouté les termes suivants dont tout individu attaché au respect de la dignité de la personne ne peut que se réjouir : « ce que ne dit pas litttéralement le texte qui cependant y fait nécessairement référence au plan idéel, veille au respect d’une éthique ». Comment ne pas désespérer de notre pseudo-démocratie lorsque l’administration méprise systématiquement l’autorité de la chose jugée les rares fois fois où elle lui est défavorable ?

L’attitude méprisante du recteur Boissinot en est la preuve flagrante : il prend acte mais estime que ce jugement ne fera en aucun cas jurisprudence. C’est manquer une fois de plus de respect (et c’est un euphémisme) à Karen Montet-Toutain qui ne doit qu’à la chance d’être encore en vie.



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