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Ne plus jamais se laisser impressionner par les beaux discours sur l’amour de l’Autre et la Tolérance. Ils sont tenus par des personnes qui ignorent tout de la coexistence quotidienne avec ces populations issues d’Afrique ; des personnes qui prêchent aux autres une morale qu’elles se gardent d’appliquer à elles-mêmes. Elles me font penser à ces mondains planqués pendant la guerre de 14. De leurs beaux salons parisiens, ils s’indignaient du défaitisme des poilus qui en bavaient dans l’enfer des tranchées sous la mitraille allemande, et prétendaient, en uniformes d’opérette, leur donner des leçons d’héroïsme. Au fond, il faudrait construire un monument au « Franchouillard inconnu » comme on en a construit un pour le soldat inconnu. C’est lui, ce franchouillard, qui aura essuyé, honni par les planqués de l’arrière, tous les méfaits de l’immigration et si la « Diversité » rate c’est lui qui sera le premier égorgé. De toutes façons ce n’est pas par amour de l’Etranger, que ces donneurs de leçons prêchent l’immigration et le multiculturalisme mais par haine de leurs proches, de leurs semblables. Les Africains, ils s’en moquent plus que toi et moi. Ils les attirent et les instrumentalisent dans le but de se débarrasser de nous, les Français de souche. Et beaucoup sont payés pour ça.Ce sont les nouveaux négriers. Entre parenthèses, à partir du moment où on paye des gens (avec nos impôts) pour combattre le racisme ils ont tout intérêt à faire croire qu’il existe. Ce sont les rentiers de l’antiracisme.
Tenez à propos de patricide et de patrie : ces néo-Français d’origine africaine sont administrativement , comme je l’ai dit, des Français comme nous. Mais si nous partageons le même pays, nous n’avons pas, au sens propre du terme, la même Mère patrie que nombre d’entre eux. La nôtre est la France, leur Mère patrie à eux est l’Algérie, le Maroc, la Tunisie ou le Mali. Nous ne sommes donc pas, toujours au sens propre du terme, leurs compatriotes comme ils ne sont pas les nôtres. Là aussi il faudrait inventer un mot : peut-être « conlocaux » , ou « conlocaliens » : "ceux qui partagent le même lieu" , un point c’est tout..