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Article un peu confu, qui essaie d’analyser un pseudo-déclin de l’identité française sans pour autant définir cette identité.

On peut donner, d’après moi, deux grandes définitions de l’identité française :

- La France éternelle, celle de Clovis, Charlemagne, des Capétiens, des Bourbons, Monarchique, Chrétienne, divisée en « pays », avec ses terroirs, ses langues, Une france qui est aussi Esclavagiste...

- La France République, celle des Lumières, des Révolutions de 1789, de 1848, de la Commune de 1870, des luttes sociales du XIXe et XXsiécle, celle qui affiche sur ses bâtiments officiels Liberté égalité, Fraternité, mais qui colonise l’Afrique et l’Asie au nom d’un certain paternalisme...

Entre ces deux France a existé une France qui esayer de réconcillier ces deux aspects, cette France c’est en partie celle des deux empereurs.

Maintenant à chacun de ce construire une identité dans ces France (ou dans d’autres). Chacun y verra soit le déclin de sa France soit son rayonnement.

Quand l’auteur parlent des valeurs de la France : Quelles sont-elle ?

Pour moi, il n’y en à que trois : Liberté, Egalité, Fraternité. Pour vous c’est peut-etre différent. L’auteur suggère que les valeurs de la France ne sont plus défendues. Mais de quelles valeurs parlent-il, de celle là, ou d’autres ? Parce qu’il me semble que les valeurs de la République ne sont pas condamnées par la « bien-pensance ».

Et qu’est-ce que cette « bien-pensance » ?

N’est-ce pas un terme creux, inventé pour qualifier toute penser qui n’est pas conforme à la notre ? N’es-t-on pas toujours le bien pensant d’autrui ?

Je pose ces questions car je suis souvent qualifié moi-même de bien-pensant. D’autres fois on qualifie ma pensée d’extrémiste...

Et l’auteur nous sort encore le poncif de la mal-bouffe ! Quel rapport avec l’identité du pays ? Peut-être que pour lui la France c’est le Cassoulet et la Choucroute ?

Ma nourriture, c’est McDo, le fast-food asiatique, la Paella et le Couscous ?

Suis-je moins français que lui ?

Finalement, je pense que cet articles comporte trop de clichés pour être considéré comme sérieux.

Mais le débat qu’il ouvre, sur l’identité de la France, peut être, par contre, passionnant !