Je crois, en effet, Jako, que Mouna aurait fort à faire s’il vivait l’époque actuelle tant les sujets d’indignation sont devenus nombreux et quotidiens ; et que sa parole de bouffon imprécateur aurait un écho encore plus important dans une société qui dérive de plus en plus vers le pouvoir autocratique et la confiscation des richesses par une minorité.
"Mouna, c’est l’indignation", écrivait Cavanna dans sa préface du livre d’Anne Gallois. Et il avait raison. Sans doute ne sommes-nous pas assez nombreux à nous indigner des dérives qui menacent notre démocratie de manière insidieuse et sournoise. Il faudrait pourtant plus de Mouna, plus d’indignés, plus de révoltés dans les rues, avec ou sans bérte à médailles, pour faire barrage à la multiplication des atteintes aux acquis sociaux et aux libertés !
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